Glander, bouiner, mouler...
Rouz, sauveur de l'humanité , nous démontre que glander nous amène à transcender la nature humaine. Rien que ça :
"Glander, bouiner, mouler...
Wikipedia : Glander, verbe intransitif. Perdre son temps à ne rien faire ; paresser ou faire des choses sans utilité : Passer son temps à glander.
Glander est donc "intransitif"... Cherchons mieux, Wikipedia nous informe qu'en philosophie, "intransitivité" s'oppose à "immanence".
L'immanence désigne le fait de demeurer à l'intérieur. Un principe métaphysique immanent est donc un principe dont l'activité non seulement n'est pas séparable de ce sur quoi il agit, mais le constitue de manière
interne. Ce concept s'oppose à la transcendance, qui est le fait de sortir, d'aller à l'extérieur. Toute utilisation de ces concepts nécessite évidemment la définition préalable de l'intérieur, de l'extérieur et de leur frontière!
Voilà c'est dit. On nous cache tout, on transforme tout. La vérité nous est cachée, la réalité transgressée : Glander est Transcender.
D'ailleurs, l'origine du mot "glander" ne laisse aucun doute : on admet communément que le glandeur était le porcher qui amenait ses bestioles se repaitre de glands. Il les amenait à la glandée, disait-on en ces temps reculés. L'homme seul contemplant l'œuvre de l'univers et fusionnant avec la nature, le glandeur.
Mais c'est EXTRAORDINAIRE, Ma'me Chabot, pourquoi, en France, est-il interdit de nourrir ses bêtes, quand dans le monde entier, c'est considéré comme un geste courageux ? Devrais-je avoir honte de me lever tôt le matin, de marcher des heures, de gravir des cols abrupts, pour trouver enfin de la nourriture à mes animaux ? Ne nous laissons pas enfermer par la pensée unique.
Non, définitivement, glander amène à transcender la nature humaine.
Preuve de courage et d'abnégation, de rapprochement avec la nature, de sacrifice, d'humanité, de don de soi.
Les mots sont importants..."
Par Rouz.